Journée d’étude IA 12/9/24

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Donner envie d’expérimenter, de travailler avec les IA.

Les intervenants:

Vivien Garcia: docteur en philosophie, enseignant de philosophie à la faculté de médecine de l’université de Lorraine, et traducteur (entre autre de Donna Haraway). Auteur de Que faire de l’intelligence artificielle ? Petite histoire critique de la raison artificielle.

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Florence Margenat, avocate et enseignante en droit.

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Inès silleul: Inès Sieulle est une artiste et réalisatrice française. Elle a étudié aux L’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris avant de rejoindre le Fresnoy – Studio national des arts contemporains. Son travail vise à mettre en lumière les dynamiques sociales contemporaines qui l’entourent. Dans une démarche transdisciplinaire, elle lie ses différentes expériences artistiques en théâtre, sculpture, vidéo, arts numérique et installation afin de créer des formes de récits sensibles dans une démarche documentaire. A travers des associations d’images, de sons et d’expériences de vie, elle offre aux fragments qu’elle récolte des dimensions métaphoriques visant à nous éclairer sur le monde.

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Etienne Mineur: designer, éditeur et enseignant français, dont le travail est axé sur les relations entre graphisme et interactivité. En 2020, il commence à s’intéresser de nouveau aux Intelligences artificielles génératives et donnent de nombreux cours et ateliers dans les écoles sur ce sujet.

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Albertine Meunier: Albertine Meunier pratique l’art dit numérique depuis 1998 et utilise tout particulièrement Internet comme matériau. Elle se définit elle-même comme une net artiste, artiste pas nette. Cette expression bien que légèrement désuète – un net artiste étant tout simplement un artiste de son temps – contribue à lui conférer un visage humain, bien loin de la froideur des machines numériques.

https://www.albertinemeunier.net

Captation de son intervention lors de la journée d’étude sur les arts à l’heure de l’Intelligence Artificielle. Artifices – 19.04.2024

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Quelques autres références:

Quelques pistes que j’ai suivies pour cette journée d’étude.

Alexandre Gefen: https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_Gefen

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Ilan Manouach: a conceptual comics artist, a book publisher and a strategy consultant for Onassis Publications. He completed a PhD at Aalto University on comics epistemology exploring the effects of frontier technologies, synthetic media, fintech and globalized logistics on the comics industry.

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Antonio Casilli: Antonio A. Casilli is full professor of sociology at the Telecommunications school (Telecom Paris) of the Institute Polytechnique de Paris. His main research foci are social networks, digital platforms, and digital labor.

  • https://www.casilli.fr
  • Son cours dans le cadre du MOOC Digital Media de l’École professionnelle supérieure d’arts graphiques de la Ville de Paris (EPSAA) animé par Dominique Moulon au Cargo Plateforme d’innovation et coproduit par MCD.

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Thomas Israël: comédien et artiste visuel. Transdisciplinary approach of digital arts revolves around social & humanist themes, body, time and subconscious. Some of his works are part of MoMA, Jewish Museum of Belgium, Galila’s P.O.C & Abattoir’s of Toulouse collections. He also worked with opera (Bordeau, Tokyo Opera House & South Korea) and is represented by Galerie Charlot in Paris since 2010.

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Eric Tabuchi: Éric Tabuchi est un artiste français d’origine dano-japonaise dont la pratique photographique se déploie de l’édition à l’installation, en passant par la sculpture. Il documente le territoire français, celui des villes, paysages péri-urbains et campagnes, et ses typologies architecturales, avec une approche analytique et systématique.

  • https://www.archive-arn.fr
  • https://www.poursuite-editions.org/produit/the-third-atlas/ Faisant suite à Atlas of Forms, livre paru en 2017, puis aux 4 premiers volumes de l’Atlas des Régions Naturelles, The Third Atlas vient former une trilogie des Atlas dont le sujet est autant l’architecture au sens large que l’image dans ses différents modes de production et de diffusion. En effet, si l’Atlas of Forms utilisait l’internet comme source principale, si à l’inverse l’ARN explore les réalités locales de la France contemporaine, The Third Atlas propose d’expérimenter l’intelligence artificielle comme outil de représentation du réel.

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Sabrina Raté: artiste canadienne basée à Montréal. Elle crée des écosystèmes qui évoluent au sein d’installations interactives, de séries de vidéos, d’impressions numériques, de sculptures ou de réalité virtuelle. Influencées par la science-fiction, la philosophie et diverses textes théoriques, ses œuvres explorent la convergence de la technologie et de la biologie, l’interaction entre la matérialité et la virtualité, ainsi que l’évolution spéculative de notre environnement.

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Stephanie Solinas: Artiste plasticienne, autrice et chercheuse, Stéphanie Solinas développe une œuvre plurielle, à la croisée de la photographie, du livre et de l’installation. Explorant la pensée à l’oeuvre dans l’opération même de «voir» et le tissage du visible et de l’invisible, du rationnel et de la croyance, de la dynamique entre Soi et l’Autre, qui forme les identités, son champ d’investigation s’étend du XIXe au XXIe siècle, de la naissance de la photographie à l’intelligence artificielle.

  • Vidéo. Stéphanie Solinas & Jean-Kenta Gauthier en conversation.
  • https://www.stephaniesolinas.com/Books L’Être plus. Itinéraire pour Devenir soi-même. Éditions du Seuil. Coll. Fiction & Cie. Que faire du temps qui nous reste? C’est sur les routes de l’Ouest américain, berceau commun de la Silicon Valley et du New Age, que Stéphanie Solinas est partie enquêter, un long road trip pour connecter des lieux et rencontrer des individus choisis dont l’engagement façonne le réel. Au travers d’eux, elle a cheminé dans les idées d’aujourd’hui désireuses de concevoir l’humain « augmenté » du futur, entre spiritualité, intelligence artificielle et quête d’immortalité.

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David Fathi

  • The Machine Seems to Need a Ghost (But the ghost cannot quite make itself at home in the machine), 2023. Works with generative artificial intelligence, on the trappings of feedback loops and digital hauntology, soon at unRepresented by A PPR OC HE

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IA et éthique. FARI est une initiative indépendante et à but non lucratif dans le domaine de l’intelligence artificielle, menée par la Vrije Universiteit Brussel (VUB) et l’Université libre de Bruxelles (ULB).

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Quelques vidéos: